Patamilka ?
Mais bien sûr !
La recette d’un nom
À l’oreille, c’est doux. « Patamilka ». Tout de suite compréhensible, le nom semble être né de l’amalgame des syllabes. « Pâte à tartiner ». « Milka ». Comme si les mots, tels des carrés de chocolat, avaient été fondus. Soudés. Le nom évoque aussi le pouvoir réconfortant du chocolat. Son côté régressif. L’onctuosité de la préparation que l’on imagine généreusement étalée. Goulument dégustée. À moins d’être mauvaise langue et d’entendre par extension « Pâte à mille ca… lories ». Là, forcément, ça fait un bide. Mais la Patamilka, c’est aussi un clin d’œil au nom de la marque ; « Milka » étant né de l’association des termes allemands « Milch und Kakao ». Du lait et du chocolat. Tout simplement.
Le goût du succès
Dans la publicité, il y a ces spots dont on retient inévitablement une mimique verbale. Une réplique. La signature. Parmi eux, l’inévitable marmotte Milka qui, si on doit encore le rappeler, « met le chocolat dans le papier d’alu » depuis plus de vingt ans. Gagnant ainsi sa place dans le langage courant. À l’occasion du lancement de son nouveau produit et accompagné de Buzzman, Milka a donc remis sa mascotte au goût du jour. Mais en inversant les rôles. « Et alors le garçon, il met la pâte à tartiner sur le pain ! Mais bien sûr ! ». Pas sûrs que la réplique n’égale l’initiale. La légendaire. Mais on sourit au clin d’œil.
Crédits :
Agence : Buzzman